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mercredi 18 novembre 2015

Que faire en cas de stress dépassé ?





Que faire en cas d'intense stress ? Il y a des attitudes simples et efficaces à adopter 
dans  les différents cas.

a) -Vous êtes vous-même sujet (te) à une intense réaction de stress :

Osez parlez !  Ne souffrez pas en silence !


- Ne croyez pas que les autres vont mal vous juger, ou qu'un chef impitoyable va vous disqualifier ou
vous sanctionner. Ne banalisez pas ce qui vous arrive. C'est une affaire normale, mais une affaire   sérieuse.Vous êtes "blessé (e)", mais vous allez guérir.
 

- Donnez-vous du temps et ayez patience !


- Occupez-vous de vous et ne jugez pas vos réactions.


- Tachez de comprendre d'où provient votre "blessure", recherchez le traumatisme, et précisez ce dont vous avez besoin : 


- Pas d'alcool ni de drogue, mais une écoute.


- Pas de médicament, mais la possibilité d'exprimer vos émotions.


- Acceptez le manque de sommeil, les pensées et les cauchemars persistants, les souvenirs obsédants. 
  Tout cela passera avec le temps.


b) - Votre collègue est sujet (te) à une intense réaction de stress :


  -  Il n'est pas facile de réaliser qu'une (e) collègue subit un intense stress. Pour cela, observez :


          Qu'il y a eu un incident de sécurité, un accident, un événement hors du commun, un motif de stress traumatique dans votre environnement immédiat ; - que votre collège a changé, qu'il (elle) a un comportement différent depuis lors.
 

          Dans le doute offrez une aide superflue, qui peut être déclinée, plutôt que de l'indifférence ou de l'incompréhension.


Encouragez : l'expression des émotions, mais ne forcez pas une porte close.


Laissez couler le flot émotionnel. Ne portez pas de jugement.


Exprimez vos réactions, sans interpréter les siennes.


Écoutez avec attention et intérêt.


Passez du temps avec lui (ou avec elle).


Rappelez-lui que tout cela est normal, qu'il (elle) n'est pas malade mais "blessé (e), qu'il (elle) n'est pas victime d'un traumatisme, mais le (la) survivant (e) d'un incident sérieux.


Surtout ne doutez pas de vos capacités de soutien. Avec vos oreilles et votre attention, vous ne pouvez pas faire de mal, au contraire, vous pouvez soulagez.


Enfin, si malgré tous vos efforts, la situation ne s'arrange pas, parlez-en à une personne de confiance.


vendredi 13 novembre 2015

Extinction d'un feu de bâteau





L'attaque se fait avec des engins-pompes, des moto-pompes de préférence, établis sur la berge. La mousse

à moyen ou haut coefficient de foisonnement peut donner de très bons résultats.


On établit au besoin une passerelle avec des échelles, des planches, sur laquelle les tuyaux peuvent être

établis. Il y a nécessité pour le porte-lance d'avoir une très grande réserve.


Ne pas perdre de vue que le risque de déséquilibre et de submersion possible du bateau en feu par

accumulation d'une trop grande quantité d'eau d'extinction et en conséquence effectuer généralement

l'épuisement parallélement à l'attaque.


Au cas de feu sur un automoteur, l'effort de protection se portera principalement vers l'arriére ou se trouve la

machinerie et le dépôt de carburant (gas-oil).