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lundi 29 décembre 2014

Mesures De Prévention Contre Les Noyades

Elles doivent d'abord concerner les enfants d'une part par la fréquence des noyades à la période des vacances et d'autre part la gravité des séquelles neurologiques constatées en cas de survie.

Or la noyade d'un enfant est toujours due à un défaut de surveillance des adultes, elle se produit à la plage certes, mais également dans les piscines privées ou publiques, fleuves, les mares, etc...)

Chez l'adulte, habituellement, la cause de la noyade est évidente (insuffisance technique, épuisement traumatisme divers, etc...). Lorsque l'accident ne s'explique pas simplement, plutôt que d'évoquer la notion d'hydrocution, il faut soigneusement rechercher chez la victime une prédisposition aux pertes de connaissances. Celles qui sont le plus souvent retrouvées sont les comitialités, les troubles paroxystiques du rythme ou de la condition cardiaque, la prise d'antihypertenseurs  ou de tranquillisants et enfin, l'absorption excessive d'alcool. Ainsi, la connaissance de ces causes pré-disposantes, de la part  des médecins, doit permettre la mise en garde de leurs patients, non seulement, après un premier accident, mais de préférence à titre préventif. Il est évident que l'apprentissage précoce et généralisé de la natation ainsi que l'information des secouristes et des surveillants de plages, doit jouer un grand rôle.

Enfin, l'interdiction stricte des plages classées "dangereuses", l'existence d'équipes de sauveteurs en permanence dans  certaines plages très fréquentées permettraient peut être une prise en charge plus précise des victimes et par là même, une amélioration du pronostic des noyades.  

dimanche 21 décembre 2014

Le comité international de la croix rouge (C.I.C.R)





Organisation neutre et privé, dont tous les membres sont suisses, le C.I.C.R est chargé de veiller à l'application, par les États signataires, des Conventions de Genève dont il est le promoteur. En outre, il est particulièrement désigné, en raison même de sa neutralité, pour offrir ses services aux belligérants au bénéfice des victimes des conflits.




    Le C.I.C.R agit tout d'abord en faveur des militaires blessés, malades et naufragés, des  prisonniers de guerre aux mains de l'ennemi, dont il s'efforce, de la capture à la libération, d'améliorer les conditions de vie. Pour cela, il envoie à travers le monde des délégués qui visitent les lieux d'internement, de détention et de travail où se trouvent les captifs, qui s'enquièrent de leurs conditions de logement, de traitement, d'alimentation, et qui interviennent auprès de la puissance détentrice pour obtenir, le cas échéant, les améliorations nécessaires.


     Le C.I.C.R agit également en faveur de la  population civile se trouvant en territoire ennemi ou sous régime de l'occupation. Il intervient aussi lors des conflits (article 3 commun aux quatre Conventions de Genève de 1949).
Une autre activité importante du C.I.C.R consiste à rechercher les disparues et à transmettre les messages familiaux entre les personnes séparées par les événements.


     Enfin, le C.I.C.R peut être appelé à apporter des secours à la population civile que la guerre à réduite à la famine. Étant bien souvent le seul à pouvoir franchir les barbelés, traverser les blocus ou circuler librement dans une zone occupée, le C.I.C.R achemine ainsi vivre, médicaments, vêtements.