Une fuite peut se produire :
- dans la paroi qui est en contact avec la phase gazeuse ;
- dans celle qui est au contact de la phase.
Il faut se souvenir que la quantité de chlore émise est sensiblement quelque fois supérieur si la fuite, par un orifice donné, est à l'état liquide. Par conséquent, il faut toujours essayer, en premier lieu, de transformer en fuite à l'eau gazeux une fuite de chlore liquide.
Pour cela, déplacer, si possible, le récipient de manière à situer l'orifice par lequel s'effectue la fuite dans la phase gazeuse (en partie haute).
Pour localiser une fuite de faible importance, non immédiatement détectable, se munir d'un tampon, dispose au bout d'un long manche et imprégné d'ammoniaque ; la fuite se signale par la production de fumées blanches de trichlorure d'azote, d'autant plus épaisses et denses que la proportion de chlore dans l'air est importante.
Ne jamais arroser une fuite de chlore avec de l'eau car cela aurait pour effet un accroissement de corrosion, susceptible d'augmenter la fuite.
Quand la fuite est décelée, et en attendant que le récipient puisse être vidangé, il faut s'efforcer de faire cesser l'émission, par exemple en obturant l'orifice de fuite au moyen d'un tampon en bois (cheville).
Opérer au moyen de l'appareil respiratoire isolant, dans le sens du tirage ou du vent.
Prendre garde que le chlore gazeux, plus dense que l'air, ne s'accumule dans les creux.
Ventiler énergiquement.
Prendre garde aux risques d'explosion et si, nécessaire, n'assurer l'éclairage qu'au moyen d'appareils anti-déflagrants.
Un local infesté par du chlore sera arrosé abondamment, à l'exception du (des) récipient (s) métalliques.
- dans la paroi qui est en contact avec la phase gazeuse ;
- dans celle qui est au contact de la phase.
Il faut se souvenir que la quantité de chlore émise est sensiblement quelque fois supérieur si la fuite, par un orifice donné, est à l'état liquide. Par conséquent, il faut toujours essayer, en premier lieu, de transformer en fuite à l'eau gazeux une fuite de chlore liquide.
Pour cela, déplacer, si possible, le récipient de manière à situer l'orifice par lequel s'effectue la fuite dans la phase gazeuse (en partie haute).
Pour localiser une fuite de faible importance, non immédiatement détectable, se munir d'un tampon, dispose au bout d'un long manche et imprégné d'ammoniaque ; la fuite se signale par la production de fumées blanches de trichlorure d'azote, d'autant plus épaisses et denses que la proportion de chlore dans l'air est importante.
Ne jamais arroser une fuite de chlore avec de l'eau car cela aurait pour effet un accroissement de corrosion, susceptible d'augmenter la fuite.
Quand la fuite est décelée, et en attendant que le récipient puisse être vidangé, il faut s'efforcer de faire cesser l'émission, par exemple en obturant l'orifice de fuite au moyen d'un tampon en bois (cheville).
Opérer au moyen de l'appareil respiratoire isolant, dans le sens du tirage ou du vent.
Prendre garde que le chlore gazeux, plus dense que l'air, ne s'accumule dans les creux.
Ventiler énergiquement.
Prendre garde aux risques d'explosion et si, nécessaire, n'assurer l'éclairage qu'au moyen d'appareils anti-déflagrants.
Un local infesté par du chlore sera arrosé abondamment, à l'exception du (des) récipient (s) métalliques.
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