Diffuseurs se montent sur les lances, à la place des ajutages normaux voire des robinets eux mêmes, afin de permettre la projection, sous une forme plus ou moins pulvérisée, d'eau sous pression. Certains remplissent d'ailleurs simultanément plusieurs offices.
On distingue en effet différents types de diffuseurs : les plus courants sont :
- les diffuseurs qui se montent, à la place de l'ajutage, sur les lances de 20, 40 et 65, et qui permettent
d'obtenir, selon le réglage d'une bague moletée, soit un jet-bâton, soit une diffusion en cône de degré
variable soit la fermeture complète ;
- les robinets combinés à jet de forme conique non réglable, pour lances de 20, 40 et 65 et même des lances "Monitor".
Ce diffuseur permet, par la manœuvre du robinet à trois positions, de réaliser soit un jet-bâton, soit un jet en nappe plane, soit de fermer la lance.
Le jet diffusé permet d'obtenir un effet de refroidissement intense et de couvrir rapidement une grande surface avec une faible quantité d'eau, il a aussi l'avantage de protéger le porte-lance de la chaleur par l'écran d'eau qu'il forme.
Utilisation :
- feux de surface (feux d'herbes, broussailles, forêts, déblais) ;
- feux d'huile ou d'hydrocarbures lourds (mazout) ;
- feux de chambre (dégâts de l'eau réduits) ;
- feux de sous-sol (refroidit l'atmosphère et dissipe la fumée) ;
- feux sur les objets sous tension (sous-certaines conditions) ;
- désinfection par dissolution d'un gaz soluble (ammoniaque ou gaz sulfureux) ;
Les diffuseurs exigent, pour fonctionner dans des conditions satisfaisantes, une pression plus forte que les ajutages habituels. En général, pour les diffuseurs de construction française, la pression optimum est de 6 à 8 bars/cm2 à la lance, mais les résultats sont encore acceptables à 4 bars/cm2.
En raison de sa faible portée, du danger présenté par les retours de flammes possibles et des risques de brûlure par la vapeur, qui imposent l'attaque du feu dans le sens du tirage, l'emploi du diffuseur ne doit être confié qu'à des portes-lances bien entraînés.
On distingue en effet différents types de diffuseurs : les plus courants sont :
- les diffuseurs qui se montent, à la place de l'ajutage, sur les lances de 20, 40 et 65, et qui permettent
d'obtenir, selon le réglage d'une bague moletée, soit un jet-bâton, soit une diffusion en cône de degré
variable soit la fermeture complète ;
- les robinets combinés à jet de forme conique non réglable, pour lances de 20, 40 et 65 et même des lances "Monitor".
Le jet diffusé permet d'obtenir un effet de refroidissement intense et de couvrir rapidement une grande surface avec une faible quantité d'eau, il a aussi l'avantage de protéger le porte-lance de la chaleur par l'écran d'eau qu'il forme.
Utilisation :
- feux de surface (feux d'herbes, broussailles, forêts, déblais) ;
- feux d'huile ou d'hydrocarbures lourds (mazout) ;
- feux de chambre (dégâts de l'eau réduits) ;
- feux de sous-sol (refroidit l'atmosphère et dissipe la fumée) ;
- feux sur les objets sous tension (sous-certaines conditions) ;
- désinfection par dissolution d'un gaz soluble (ammoniaque ou gaz sulfureux) ;
Les diffuseurs exigent, pour fonctionner dans des conditions satisfaisantes, une pression plus forte que les ajutages habituels. En général, pour les diffuseurs de construction française, la pression optimum est de 6 à 8 bars/cm2 à la lance, mais les résultats sont encore acceptables à 4 bars/cm2.
En raison de sa faible portée, du danger présenté par les retours de flammes possibles et des risques de brûlure par la vapeur, qui imposent l'attaque du feu dans le sens du tirage, l'emploi du diffuseur ne doit être confié qu'à des portes-lances bien entraînés.
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