L'entraînement physique est, au même titre que l'instruction technique l'une principales des formes d'activité du sapeur-pompier. Mais, alors que le développement musculaire et l'éducation des réflexes ne visent, chez la plupart des hommes, qu'à maintenir ceux-ci en bonne santé, ou à compenser l'intoxication d'une vie sédentaire, ils doivent avoir pour but essentiel de permettre au sapeur-pompier de faire face à toutes les situations, normales ou critiques, devant lesquelles il peut se trouver au cours d'une opération d'extinction ou de sauvetage.
Ils doivent également faciliter l'utilisation du matériel qu'il est appelé à manœuvrer, soit seul, en équipe, afin d'en obtenir le meilleur rendement.
Tous les agrès du service d'incendie, que ce soit l'échelle à crochets, le dévidoir, la clé de barrage ou tant d'autres matériels si divers, nécessitant de la part de celui qui les manœuvre, du coup d'œil, de la force et l'adresse.
Les interventions dans la fumée exigent du sang-froid et un contrôle absolu de la respiration ; le cheminement sur un toit, un rétablissement sur une corniche nécessite un développement de l'équilibre ou de la force des doigts. Des exemples pris entre mille, montrent la nécessité d'un entraînement physique complet, que la pratique du métier, même périlleux ne confère pas nécessairement.
Sans entraînement, un sapeur-pompier :
- peut se trouver incapable de jouer pleinement son rôle dans un sinistre ;
- risque d'exposer inutilement sa vie ;
- l'entraînement est donc à la fois :
- un devoir professionnel ;
- une sauvegarde personnelle ;
L'entraînement physique des sapeurs-pompiers peut être pratiqué sous diverses formes :
- gymnastique aux agrès ;
- gymnastique naturelle ;
- exécution du parcours sportif du sapeur-pompier ;
- pratique des sports individuels et collectifs ;
Il doit être conduit compte tenu :
- des catégories à entraîner : séniors ou vétérans, sapeurs-pompiers professionnels ou volontaires.
Ils doivent également faciliter l'utilisation du matériel qu'il est appelé à manœuvrer, soit seul, en équipe, afin d'en obtenir le meilleur rendement.
Tous les agrès du service d'incendie, que ce soit l'échelle à crochets, le dévidoir, la clé de barrage ou tant d'autres matériels si divers, nécessitant de la part de celui qui les manœuvre, du coup d'œil, de la force et l'adresse.
Les interventions dans la fumée exigent du sang-froid et un contrôle absolu de la respiration ; le cheminement sur un toit, un rétablissement sur une corniche nécessite un développement de l'équilibre ou de la force des doigts. Des exemples pris entre mille, montrent la nécessité d'un entraînement physique complet, que la pratique du métier, même périlleux ne confère pas nécessairement.
Sans entraînement, un sapeur-pompier :
- peut se trouver incapable de jouer pleinement son rôle dans un sinistre ;
- risque d'exposer inutilement sa vie ;
- l'entraînement est donc à la fois :
- un devoir professionnel ;
- une sauvegarde personnelle ;
L'entraînement physique des sapeurs-pompiers peut être pratiqué sous diverses formes :
- gymnastique aux agrès ;
- gymnastique naturelle ;
- exécution du parcours sportif du sapeur-pompier ;
- pratique des sports individuels et collectifs ;
Il doit être conduit compte tenu :
- des catégories à entraîner : séniors ou vétérans, sapeurs-pompiers professionnels ou volontaires.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.